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[En ligne] Visionnez la vidéo de la 6e rencontre autour de ma thèse : “Le rôle de l’architecte dans les transformations urbaines bottom-up, études de cas dans le contexte de la ville ordinaire” – Fabienne Louyot doctorante IPRAUS (Énsa de Paris-Belleville)

Fabienne Louyot, doctorante IPRAUS/AUSser sous la direction de Virginie Picon-Lefebvre, a échangé sur son parcours et sur son sujet de thèse :  Le rôle de l’architecte dans les transformations urbaines bottom-up, études de cas dans le contexte de la ville ordinaire.

Marie-Ange Jambu, Maîtresse de conférences associée en Ville et territoiresà l’Énsa de Paris-Belleville, était la discutante.

André Lortie, directeur de l’IPRAUS/AUSser, a animé cette rencontre.

Cette thèse est en préparation à l’Université Paris-Est, dans le cadre de l’École doctorale Ville, Transports et Territoires, en partenariat avec l’IPRAUS – Institut Parisien de Recherche Architecture Urbanistique Société (laboratoire à l’Énsa de Paris-Belleville).

Cette présentation s’est déroulée au centre de recherche documentaire IPRAUS (bâtiment B, 3ème étage) à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville le lundi 18 mars 2024, 13h.

Résumé de la thèse

La thèse observe les réponses données à des situations de crises urbaines et architecturales dans le contexte des petites villes. Ce thème constitue un sujet crucial actuellement pour de nombreuses villes éloignées de l’influence de la métropolisation, ces villes ont ainsi été définies par le concept de ville ordinaire dans le champ des recherches urbaines. Une forme alternative de transformation de la ville se développe en réponse à cet « abandon » des petites villes par les institutions. Celle-ci se traduit par l’émergence de pratiques de projets initiés par des citoyens. Ces modes « réactifs » et « créatifs » de faire la ville produisent une matière que l’on peut ainsi relier à la notion de communs urbains et qui se caractérisent par une gouvernance indépendante, en marge des formes traditionnelles de renouvellement urbain. La thèse observe comment l’architecte participe à l’émergence de cette matière de la ville. Dans cette perspective, elle propose une analyse de la portée des actions définies comme bottom-up, observant les réponses architecturales qu’elles suscitent, et leurs capacités à expérimenter afin d’atteindre des objectifs de transformation profonds dans ces contextes difficiles. Considérant des études de cas en France, en Italie et en Espagne, la recherche propose de construire une réflexion sur la place de l’architecte dans ces territoires de la ville ordinaire, qui semblent offrir des opportunités d’architecture, d’un part à travers l’expérimentation et d’autre part en se reliant à des pratiques créatives ancrées localement. Considérant le commun comme support de production de l’espace, l’expérience architecturale y interroge les questions esthétiques, sociales et environnementales.  


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Pascal Fort (5 février 2025). [En ligne] Visionnez la vidéo de la 6e rencontre autour de ma thèse : “Le rôle de l’architecte dans les transformations urbaines bottom-up, études de cas dans le contexte de la ville ordinaire” – Fabienne Louyot doctorante IPRAUS (Énsa de Paris-Belleville). Lab & doc. Consulté le 22 mai 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/1398a


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